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Le mot « testament » évoque souvent une réalité grave et des circonstances tristes, mais le texte qui porte ce titre invite à l’émerveillement, à la reconnaissance et à la joie. Il atteste que ce qu’il y a de plus précieux dans une vie se reçoit comme un don et ne peut s’offrir à nouveau que dans une disponibilité et une liberté totales.
Antoni Caballé a été contraint de quitter sa catalogne natale sous le franquisme. Largement autodidacte, il est l’auteur de nombreux poèmes. Réfugié en France il découvre l’Évangile, fonde une famille et exerce sa profession de maçon tout en menant plusieurs engagements associatifs. Antoni Caballé est mort à St Étienne en 193.
Testament est un texte écrit par un père à ses 4 enfants, un héritage spirituel et humain offert pour grandir et élargir sa vie. Ces pages sont animées par un souffle vivant à la portée universelle.
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En chemin est un commentaire des Psaumes 1 et 2, d’après les sources juives et chrétienne. Il témoigne d’une érudition parfaitement maîtrisée dans les domaines philologique, biblique et historique. Cet essai présente d’une manière claire et concise une lecture originale des deux Psaumes. L’auteur défend que l’hypothèse que ces deux textes forment un seul ensemble littéraire cohérent. L’argumentation s’appuie sur des éléments internes au texte et sur plusieurs données historiques. Ces deux Psaumes lus et étudiés ensemble s’éclairent mutuellement et font jaillir de nouvelles pistes de réflexion.
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« Ce n’est pas trois fois mais dix fois, vingt fois qu’un chercheur de Dieu est conduit au cours d’une vie à lire l’Évangile pour qu’il vienne féconder son histoire. Quand bien même on aurait lu l’Évangile cent fois, mille fois, il resterait encore à le lire à travers la plume de Marion Muller-Colard pour s’apercevoir qu’on ne l’a jamais lu, tant qu’il s’y présente à nous comme la première fois (…) Ces méditations sont à boire à petites gorgées. Quand on a bu, on n’a plus soif. On peut alors refermer le livre en pensant avec plaisir à demain. La soif renaîtra et le livre sera toujours là ! »
Extrait de la préface d’Antoine Nouis, directeur de Réforme
Cet ouvrage peut aussi être vendu avec Comme la première foi – Prier. Les deux livres sont réunis dans un joli coffret cartonné imprimé et vendu au prix de 15 euros.
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Il y a mille et une façons de prier. Autant qu’il y a de prieurs, autant qu’il y a de jours pour chaque prieur, autant qu’il y a de teintes dans chaque jour pour chaque prieur. Dieu nous donne la Parole, nous la lui rendons par la prière. Ainsi circulent le Verbe, la Grâce, nos louanges et nos rages. C’est un faisceau démentiel que tracent en tous sens les élans de nos prières. Si ces sillons ne devaient contenir que trois lettres, ce serait sans doute OUI. (…) Je me dis souvent que j’aimerais mourir comme je prie. En disant oui. »
M. M.-C.
Cet ouvrage peut aussi être vendu avec celui dont il est la suite : Comme la première foi – Méditer. Les deux livres sont réunis dans un joli coffret cartonné imprimé et vendu au prix de 15 euros.
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« Ce n’est pas trois fois mais dix fois, vingt fois qu’un chercheur de Dieu est conduit au cours d’une vie à lire l’Évangile pour qu’il vienne féconder son histoire. Quand bien même on aurait lu l’Évangile cent fois, mille fois, il resterait encore à le lire à travers la plume de Marion Muller-Colard pour s’apercevoir qu’on ne l’a jamais lu, tant qu’il s’y présente à nous comme la première fois (…) Ces méditations sont à boire à petites gorgées. Quand on a bu, on n’a plus soif. On peut alors refermer le livre en pensant avec plaisir à demain. La soif renaîtra et le livre sera toujours là ! »
Extrait de la préface d’Antoine Nouis, directeur de Réforme
Il y a mille et une façons de prier. Autant qu’il y a de prieurs, autant qu’il y a de jours pour chaque prieur, autant qu’il y a de teintes dans chaque jour pour chaque prieur. Dieu nous donne la Parole, nous la lui rendons par la prière. Ainsi circulent le Verbe, la Grâce, nos louanges et nos rages. C’est un faisceau démentiel que tracent en tous sens les élans de nos prières. Si ces sillons ne devaient contenir que trois lettres, ce serait sans doute OUI. (…) Je me dis souvent que j’aimerais mourir comme je prie. En disant oui. »
M. M.-C.
Marion Muller-Colard publie chaque semaine une chronique biblique dans les colonnes de l’hebdomadaire protestant Réforme. Une trentaine de ces méditations parues en 2012 et 2013 ont été publiées dans le recueil : Comme la première foi – Méditer, sous la forme de commentaires brefs. Dans le présent ouvrage l’auteur propose, en continuation, un face à face avec Celui qui interroge et renouvelle sans cesse notre être au monde.
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Lectures bibliques avec les commentaires juifs et chrétiens.
À partir de textes bibliques variés (textes de lois, épopée, poèmes, récits) qui évoquent tous la colombe, oiseau familier du Proche-Orient, les penseurs et les artistes Juifs et chrétiens ont développé des enseignements à la saveur toujours délicieuse. Clarisse Diaz Martin a réuni ces textes et ces références pour nous parler avec simplicité et profondeur du Saint-Esprit, du baptême, de la fidélité, de la vie en société et de la paix.
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Les deux premiers chapitres des Actes des apôtres représentent pour les Églises chrétiennes un texte fondateur, comportant notamment le récit de l’Ascension et celui de la Pentecôte. Chambre haute se présente comme un commentaire de ce récit des origines, à la lumière des traditions chrétienne mais aussi juive. De fait, l’Église est tout entière issue du peuple d’Israël, ce dont le texte porte de multiples traces. Le commentaire met en lumière bien d’autres éléments (parfois inattendus, souvent savoureux, toujours stimulants) susceptibles de renouveler la compréhension de ces récits que chacun doit connaître.
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Percevoir la totalité de la vie, la totalité de Dieu, la totalité du monde est au-delà de nos capacités. Il y a toujours une limite à la perception de nos sens. Mais si l’infiniment grand nous échappe, il reste la possibilité de scruter l’infiniment petit : le détail d’une scène, la place d’un mot, la nervure d’une feuille. La vie est ici, palpitante, généreuse, entière, offrant une ouverture permanente vers l’infini.
Si pour vous un bon livre sur Jésus doit comporter une thèse, une antithèse ou une synthèse, alors ce livre n’est pas celui qu’il vous faut en ce moment. La divinité de Jésus s’y révèle dans son humanité la plus humaine, la plus actuelle. L’humanité de ceux qui partagent sa vie, les anonymes qui ont croisé son chemin, mais aussi vous et moi.
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L’alliance vit est un titre qui peut surprendre. Si ce titre énigmatique a été choisi, c’est pour d’emblée orienter vers la découverte qu’a faite Matthias Helmlinger en passant en revue les principaux textes bibliques traitant de l’alliance. Celle-ci n’est pas un cadre abstrait ; dans l’alliance, il s’agit de vie. Le Dieu d’Israël est Père. L’alliance est une Personne vivante, qu’Ésaïe appelle le « Serviteur » du Seigneur. L’alliance en Jésus-Christ engendre dans la vie du Dieu Un. L’alliance est puissance d’engendrement.
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Ce texte s’apparente à un conte biblique, où quelques fragments de liturgie byzantine seraient insérés. Le Jour Vide est celui qui sépare d’une part la mort ignominieuse de Jésus le vendredi et d’autre part la jubilation du dimanche de Pâques. Entre les deux il y a ce jour vide. Quatre compagnons de Jésus, Pierre, Jacques, Marie et Jean racontent leur remise en cause et rejoignent nos propres émotions devant les séparations déchirantes.
L’écriture poétique de Brigitte Midon nous permet d’entendre leur révolte, leur incompréhension, leur doute, leur peur, mais aussi l’accueil de l’héritage d’une mémoire retrouvée, des souvenirs qui reprennent vie, une confiance qui renaît de paroles d’espérance reçues. Le Jour Vide est un texte à méditer seul en silence ou à déclamer en public.