Le grec que vous parlez sans le savoir
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Scriptura
Les mots ont une histoire et font histoire. Un mot est comme un personnage. Il a une origine, une étymologie, puis il connaît des emplois, dans diverses circonstances ; on peut en suivre la trace et restituer son curriculum vitae. Le dictionnaire enregistre en effet les usages d’un mot et précise les contextes où il est intervenu, c’est une mémoire, un tableau nuancé de ses capacités à signifier, une réserve pour des emprunts futurs. Un mot entre dans une phrase comme dans une pièce de théâtre, il est connu par ses rôles antérieurs, il est costumé d’une façon singulière pour jouer une nouvelle scène mais c’est l’intrigue dans laquelle il est introduit, où des relations avec d’autres mots vont se nouer, qui lui construira une identité spécifique. Il apporte du sens mais il prend aussi le sens de ce qui lui arrive.
Les auteurs de ce livre, collaborateurs de la Cellule d’Animation Biblique en région parisienne, éditent ici, en les retouchant légèrement pour l’écrit, quelques enquêtes autour de mots de la Bible que, depuis plusieurs années, ils présentent et commentent lors de brèves émissions radiophoniques sur Fréquence Protestante. Parmi beaucoup d’autres possibles, ils ont sélectionné une vingtaine de mots grecs du Nouveau Testament qui se sont déposés dans notre langage quotidien, le grec que vous parlez déjà en somme…
Scriptura
Si le Messie d’Israël monte sur la montagne pour parler à son peuple, ce n’est pas pour le dominer. Ce n’est pas pour le prendre de haut. C’est pour le voir. Pour les voir, tous, tous ceux qu’il aime et qu’il vient sauver de leur folie par la folie de l’Évangile.
À leurs Pères déjà, Dieu avait parlé, par Moïse : « Écoute, Israël ! J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction… Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta descendance… ». Choisir la vie… Oh combien le peuple de Dieu l’aura-t-il désiré ! Oh combien tout homme né d’une femme l’aura-t-il désiré !
Mais les uns comme les autres n’ont pu que subir la mort, la mort qui les a choisis et séduis, tous. Pour la mort, il n’y a ni juifs, ni païens. Mais Dieu aime tant son peuple, et le monde, qu’il a lui-même choisi la vie pour les siens. Tous les siens.
C’est pourquoi Yechoua qui parle sur la montagne ne se veut pas au-dessus de toi, mais avec toi. Il est Dieu qui a choisi ta vie. S’il te parle, écoute-le.
Kamishibaï Biblique : Série Jérusalem
Quel est donc ce roi qui préfère la douceur d’un ânon à un majestueux cheval pour entrer dans sa ville ? Qui recherche la compagnie des malades et des estropiés pour les guérir ? Quel est donc ce roi qui préfère l’acclamation d’un enfant à la sagesse d’un savant ? Quel est donc ce roi qui arrache des cris de joie aux pierres du chemin ?
Texte de référence :
La Bible, Évangile de Matthieu, chapitre 27, versets 1 à 17.
Kamishibaï Biblique
L’histoire de Jonas est un véritable conte biblique. Ce récit haut en couleurs met en scène les thèmes suivants : désobéir/obéir, justice/injustice, condamnation/pardon. Le tout avec beaucoup d’humour et de merveilleux.
Texte de référence :
la Bible, livre de Jonas.
Inspiro
Deux auteurs : un livre.
Marie-Hellen Geoffroy est artiste et Pascal Geoffroy pasteur et apiculteur amateur. Ils sont les parents de trois grands enfants. Ils ont une solide expérience en animation et direction de camps. Les animaux de la Bible ont inspiré de nombreuses veillées, messages aux enfants au cours du culte dominical ou moments « spi » avec les louveteaux. Ensemble ou à tour de rôle, ils ont utilisé le papier en jouant, Marie-Hellen avec les couleurs et Pascal avec les mots.
Sur la centaine d’animaux mentionnés dans la Bible, quarante ont été choisis sur un coup de coeur pour être présentés dans cet ouvrage.
Laissons-nous dérouter par les jeux d’écriture tel que calligramme, haïkus, charade, devinette, poésie légère ou plus grave, humour et réflexion. Laissons-nous émerveiller par la précision du trait, le choix des couleurs, la qualité d’un beau livre.
Laissons-nous surtout surprendre par ces portraits d’animaux, qu’ils soient forts ou faibles, grands ou petits, réels ou imaginaires, tant de textes bibliques y font référence. Dieu n’en néglige aucun, tous ont leur place dans la nature et auprès de l’homme. Ils contribuent aussi à notre humanisation.
Jacqueline Oléart
Une exposition itinérante avec les tableaux originaux peints au pastel à l’huile, est aussi disponible sur demande.
Folia
En chemin est un commentaire des Psaumes 1 et 2, d’après les sources juives et chrétienne. Il témoigne d’une érudition parfaitement maîtrisée dans les domaines philologique, biblique et historique. Cet essai présente d’une manière claire et concise une lecture originale des deux Psaumes. L’auteur défend que l’hypothèse que ces deux textes forment un seul ensemble littéraire cohérent. L’argumentation s’appuie sur des éléments internes au texte et sur plusieurs données historiques. Ces deux Psaumes lus et étudiés ensemble s’éclairent mutuellement et font jaillir de nouvelles pistes de réflexion.
Folia
« Ce n’est pas trois fois mais dix fois, vingt fois qu’un chercheur de Dieu est conduit au cours d’une vie à lire l’Évangile pour qu’il vienne féconder son histoire. Quand bien même on aurait lu l’Évangile cent fois, mille fois, il resterait encore à le lire à travers la plume de Marion Muller-Colard pour s’apercevoir qu’on ne l’a jamais lu, tant qu’il s’y présente à nous comme la première fois (…) Ces méditations sont à boire à petites gorgées. Quand on a bu, on n’a plus soif. On peut alors refermer le livre en pensant avec plaisir à demain. La soif renaîtra et le livre sera toujours là ! »
Extrait de la préface d’Antoine Nouis, directeur de Réforme
Cet ouvrage peut aussi être vendu avec Comme la première foi – Prier. Les deux livres sont réunis dans un joli coffret cartonné imprimé et vendu au prix de 15 euros.
Folia
Il y a mille et une façons de prier. Autant qu’il y a de prieurs, autant qu’il y a de jours pour chaque prieur, autant qu’il y a de teintes dans chaque jour pour chaque prieur. Dieu nous donne la Parole, nous la lui rendons par la prière. Ainsi circulent le Verbe, la Grâce, nos louanges et nos rages. C’est un faisceau démentiel que tracent en tous sens les élans de nos prières. Si ces sillons ne devaient contenir que trois lettres, ce serait sans doute OUI. (…) Je me dis souvent que j’aimerais mourir comme je prie. En disant oui. »
M. M.-C.
Cet ouvrage peut aussi être vendu avec celui dont il est la suite : Comme la première foi – Méditer. Les deux livres sont réunis dans un joli coffret cartonné imprimé et vendu au prix de 15 euros.
Folia
« Ce n’est pas trois fois mais dix fois, vingt fois qu’un chercheur de Dieu est conduit au cours d’une vie à lire l’Évangile pour qu’il vienne féconder son histoire. Quand bien même on aurait lu l’Évangile cent fois, mille fois, il resterait encore à le lire à travers la plume de Marion Muller-Colard pour s’apercevoir qu’on ne l’a jamais lu, tant qu’il s’y présente à nous comme la première fois (…) Ces méditations sont à boire à petites gorgées. Quand on a bu, on n’a plus soif. On peut alors refermer le livre en pensant avec plaisir à demain. La soif renaîtra et le livre sera toujours là ! »
Extrait de la préface d’Antoine Nouis, directeur de Réforme
Il y a mille et une façons de prier. Autant qu’il y a de prieurs, autant qu’il y a de jours pour chaque prieur, autant qu’il y a de teintes dans chaque jour pour chaque prieur. Dieu nous donne la Parole, nous la lui rendons par la prière. Ainsi circulent le Verbe, la Grâce, nos louanges et nos rages. C’est un faisceau démentiel que tracent en tous sens les élans de nos prières. Si ces sillons ne devaient contenir que trois lettres, ce serait sans doute OUI. (…) Je me dis souvent que j’aimerais mourir comme je prie. En disant oui. »
M. M.-C.
Marion Muller-Colard publie chaque semaine une chronique biblique dans les colonnes de l’hebdomadaire protestant Réforme. Une trentaine de ces méditations parues en 2012 et 2013 ont été publiées dans le recueil : Comme la première foi – Méditer, sous la forme de commentaires brefs. Dans le présent ouvrage l’auteur propose, en continuation, un face à face avec Celui qui interroge et renouvelle sans cesse notre être au monde.
Objets Créatifs
La lanterne se présente avec quatre faces entièrement découpées prêtes à être décorées. Chaque face représente un moment de l’histoire de Noël : l’annonciation à Marie, la visite des bergers, l’adoration des mages, la présentation de Jésus bébé au temple.
Chaque face peut être décorée pendant le temps de l’Avent, une face par semaine.
Dimensions à plat : 48 cm X 17 cm, peut être pliée pour être mise dans une enveloppe.Lanterne finie : un carré de 17 cm de haut X 12 cm de côté.
La lanterne est fabriquée en papier fort très épais. Couleur noir.